Formations de tournage et gestes essentiels
Les gestes essentiels du tournage en vidéos et en images
Le tournage sur rondeau
https://www.youtube.com/watch?v=9jxvNCJsp9Y
https://www.youtube.com/watch?v=aSipYjyVDVI
Le tournage à la quille
Prochaine date de stage Du 16 au 19 février 2021
Tous les renseignements pratiques des stages sur le site
La Terre en Feu est l'atelier de poterie qui propose, en Dordogne, des stages et des formations professionnelles techniques. Exposition vente. Ouvert sur rv
http://laterreenfeu.fr
Les gestes qui suivent sont des gestes acquis avec une expérience pour un résultat précis, aucun de ces gestes n’invalide d’autres façons de faire d’autres potiers même si ils sont différents. Ce qu’il faut regarder chez un potier c’est si son travail nous convient, on peut choisir ses gestes parce qu’ils correspondent à son travail. Un tourneur de série ou un potier traditionnel indien ou marocain ou espagnol…n’aura pas les mêmes gestes qu’un tourneur à la manufacture de Sèvres ou un faïencier. Le résultat choisi amène les gestes nécessaires à développer.
Je vais donc écrire le texte en bas de la page de ce que l’on ne peut pas lire
Pour pratiquer le tour de façon excellente, la centration, l’attention, la vigilance, la patience, la douceur sont des qualités essentielles. Elles se cultivent et dès le battage le potier commence à se centrer.
Même un débutant, si il arrive à être bien attentif à terminer chaque phase pour passer à la suivante obtient très rapidement de très bons résultats.
Boules de terre….
Partage de notes sur le tableau pendant une formation de tournage pour mémoriser les gestes du tournage et leur utilité.
Explication des schémas. Le battage de la terre : Coller la terre sur la table (4 kg minimum). Une moitié dépasse de la table. Le poignet de la main gauche est posé contre la boule. Le fil est dans la main au dessous. La main droite prend le fil en haut, fait le tour avec le fil dans le sens des aiguilles d’une montre et rejoint la main gauche, ce qui coupe la boule. Le poignet gauche maintient la boule coupée, la main droite pose le fil et les deux mains rabattent le morceau coupé sur le morceau resté sur la table. Les deux mains prennent le morceau de terre dans les paumes, pouces devant surtout sans rentrer les doigts dans la terre pour ne pas créer de bulles d’air.
Le corps est bien ancré, bien en face de la table, on lève la terre coupée et on la claque fermement vers l’avant sur la terre posée. (pas vers soi). C’est pour chasser l’air. On plie un peu les genoux, une jambe un peu avancée, le corps est souple et mobile.La terre éclabousse vers l’avant. Puis on retourne la terre face contre la table en lui faisant faire un quart de tour dans le sens des aiguilles d’une montre en la faisant dépasser de la moitié et on recommence la première opération. Si c’est une terre sortie du pain, une vingtaine de tours suffisent, pour du recyclage, 30, 35 fois permettent d’avoir une terre idéale pour un tournage plus facile qui n’aura pas de vrille interne. La préparation des boules est très importante aussi mais trop longue à décrire. Ce qu’il faut retenir c’est qu’il faut beaucoup d’attention pour préparer ses boules si on est débutant pour se faciliter la tâche. Après, cela va dépendre du tournage que l’on fait.
En ce qui me concerne, je tourne très fin et pour bien tendre les formes je fais une ou deux vagues au maximum et termine à l’estèque. De plus étant une femme je n’ai pas beaucoup de force et j’ai besoin de me ménager le dos.
Le centrage. Le tour en occident tourne dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Pour centrer la terre, il doit tourner plus vite car la vitesse nous aide. Le corps doit être bien calé en toutes circonstances et les pains travaillent ensemble. Le corps est sur la gauche (fesse droite un peu en l’air car en appui sur la gauche), on appuie le bras gauche sur la cuisse. Il est essentiel de se sentir à l’aise et de ne pas se crisper ni forcer. Les mains doivent effleurer la girelle mais ne pas traîner dessus pour ne pas se blesser. On tourne à la barbotine, qui permet de mieux “graisser” la terre sans la laver. Cela toujours dans un souci de travailler avec peu de gestes et très fin.
La main droite pousse grâce au poids du corps. Elle est devant. Selon la taille de la boule, la position varie. Pour une petite boule de 400 gr, par exemple, elle est grande et on utilisera le pouce, l’annulaire et l’auriculaire, l’index et le majeur resteront au dessus de la boule. Pour une boule plus grosse (800gr), c’est le pouce et l’index de la main droite qui seront approchés (comme sur le petit schéma).
Le bras est bien calé, le pouce est en bas. La paume est contre le bas de la boule, la main est sur le côté gauche de la boule. Il est essentiel de bien rester à gauche et de ne pas essayer à attraper la boule pour la maintenir sinon on se fait entraîner. Le corps ne s’appuie pas sur la boule, il reste bien calé, sinon il sera entraîné.
La main gauche est posée derrière contre la boule, contre la main droite pour travailler en un point et ne frotte pas sur la girelle pour ne pas se blesser. Mais le petit doigt ramasse bien le bas de la boule. Son rôle est d’aider la main droite et de ramasser la terre en bas de la boule.
L’action des deux mains est de presser la terre en poussant avec la main droite, tirant avec la main gauche vers le centre pur mettre la terre au creux des mains.
Comme le corps a de bons appuis, les bras ne bougent pas, la pression juste permet de caler la terre et de la mettre au centre.
Pour centrer, c’est une décision, on doit donner l’impulsion d’énergie nécessaire. Sans notre action la boule restera sur le tour tranquillement. On s’implique dans le tournage, et parfois ce n’est pas facile parce que chaque geste pas encore acquis se voit tout de suite. L’essentiel est de se connecter à ce qui se passe, à faire attention à faire chaque phase l’une après l’autre en prenant ses appuis, en étant détendu…. facile à dire ;=) C’est un voyage intérieur et lorsque l’on rentre vraiment en relation avec la terre, la vitesse, soi même, c’est une danse agile qui procure une joie immense. La patience, la vigilance, l’attention, la douceur sont autant de qualités que le tournage nous demande de développer.
Le creusage Le corps est au milieu, le appuis sont sur les deux cuisses. Les bras sont de chaque côté de la boule, les mains sont de part et d’autre de la boule. Sur le schéma on voit le pouce de la main gauche posé sur la boule. Il va servir d’appui à l’index droit qui plonge au cœur de la boule accompagné du pouce. Les doigts extérieurs de la main droite tiennent la boule. La main gauche est bien posée sur la girelle et permet de garder la stabilité pour ne pas décentrer la boule ou cruser de travers. Une légère inclinaison est nécessaire pour ouvrir la boule. La position dépend bien sûr de la taille de la boule, de la forme que l’on souhaite obtenir. On ne va pas creuser de la même façon pour un bol et pour une assiette. On laisse un peu moins d’un centimètre de fonds.
Le fond plat se fait après le creusage pour préparer le mur. A partir du moment où la terre est creusée, c’est toujours la main gauche qui sera dans le pot pour ne pas aller à contre sens de la terre dont la paroi va s’affiner de plus en plus.
Le majeur, l’annulaire, l’auriculaire de la main gauche sont donc dans le pot, majeur et annulaire au même niveau, c’est eux qui vont aplatir la terre en s’appuyant sur le fonds et en allant vers la droite. Les deux doigts appuient sur le fonds tandis que la face externe du majeur crée la paroi. Ce n’est pas seulement le bout des doigts qui travaillent mais tout le doigt. L’index est en l’air, en dehors du pot, il aide à l’équilibre. La main droite se pose contre le pouce de la main gauche pour pousser et exercer une pression avec la main gauche qui va empêcher la boule de s’élargir trop et bien sûr maintenir l’équilibre pour ne pas décentrer. Le défaut le plus courant est de monter trop vite le mur sans avoir fait un fonds suffisamment large. Il est alors difficile de monter la vague et cela fait des pots très lourds. Pour cela, bien rester en bas de la boule jusqu’à ce que l’épaisseur tout en bas ne dépasse pas 1,5 cm . C’est un défaut que je rencontre souvent chez les débutant, de ne pas terminer un geste et de passer au suivant, d’aller plus vite pour monter que la vitesse du tour, ce qui fait une vis, de rester trop longtemps, ce qui assèche la terre, de mettre trop de barbotine, ce qui fatigue la terre.. Si cela vous arrive, vous pourrez comme ça tenter de les corriger…
Le mur. Le mur est la continuité du fonds plat. Il sert à prépare la vague. Au début, on peut décomposer; Après plus d’expérience les deux gestes se font l’un à la suite de l’autre dans un même élan. Suivant la forme que l’on veut obtenir on ne lui donnera bien sûr pas la même forme. C’est une pression exercée qui va faire monter la terre. On forme comme une pince entre le pouce de la main gauche (à l’extérieur du pot) et le majeur (à l’intérieur) et la main droite appuyée sert de support pour éviter l’évasement et le décentrage. L’index de la main gauche est en dehors du pot ou dedans selon la taille de la boule, tandis que les autres doigts sont dedans. Le majeur est à plat contre la paroi, c’est ce qui va former un mur. De par la vitesse et la force centrifuge la terre va monter. Les mouvements doivent être réguliers, la pression régulière, la vitesse de montée proportionnelle à la vitesse du tour, les doigts bien barbotinés et c’est parti !!!!!!!!!
Les deux mains sont toujours jointes dans toutes les phases, tournage, tournassage, coupe, tant que la boule a la taille de la main. Après, avec des boules plus grosses on va trouver des appuis avec le corps.
On travaille toujours en un point et on ne descend jamais
La vague Elle sert à monter la terre et à donner la forme. L’intervalle entre les deux doigts va déterminer l’épaisseur de la paroi.
C’est une pincée très fine en un point très précis. Le contact avec la terre doit être très précis pour ne pas assécher la barbotine et bien monter la terre.
Elle part bien d’en bas et se prépare avec le majeur de la main droite qui prépare un petit creux dans lequel le pouce à l’envers va pouvoir se caler. C’est très difficile à décrire comme position, excusez moi. J’essaierai de trouver des photos qui montrent cette position. La main droite est retournée vers l’extérieur, paume en l’air. Le pouce et l’index sont joints. On se couche sur l’avant bras droit pour être bien calé, on pose le pouce à l’envers dans le creux préparé, l’index contre la paroi et on va caler le majeur de la main gauche à l’intérieur du pot au dessus du pouce de la main droite et on pince. On part bien du bas. Dès que la vague est formée par la pincée on peut monter la terre. Comme toujours, la vitesse de montée doit être proportionnelle à la vitesse du tour, les mains et la paroi sont bien barbotinées, et surtout on garde la même position jusqu’en haut sans tourner les mains. On peut selon la consistance de la terre desserrer un peu la pression entre les deux doigts en arrivant en haut mais en aucun cas lâcher la position des mains. On peut respirer quand la vague est terminée. Travail en apnée recommandé ;-)
Pour couper : On tient le bord de la paroi avec les doigts pleins de barbotine pour que la terre n’accroche pas et on approche doucement la pointe du couteau jusqu’à toucher l’index qui se trouve en face de la pointe. Lorsque la pointe a traversé la paroi, elle est coupée et on peut retirer l’anneau de terre qui se détache tout seul. Les défauts les plus courants sont d’enfoncer la pointe de façon trop forte, ce qui déforme la paroi, de tirer l’anneau qui se détache avant que la terre soit coupée complètement, ce qui arrache le haut ou fait vriller la paroi, de ne pas avoir le doigt en face de la pointe ou du couteau. Si vous n’arrivez pas bien à couper, vérifiez si vous faîtes bien ces gestes.
Ne pas tirer, ne pas appuyer trop fort, ne pas approcher trop vite la pointe. Tout dans le tournage est une question d’équilibre et de douceur et de centration… Pas de précipitation au risque de voir s’écrouler le travail.
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Ajuster un couvercle sur un pot
Ce n’est pas une chose facile que d’ajuster un couvercle sur son pot…
J’ai pris quelques vues de pots et de leur couvercle pour montrer quelques façons de pouvoir les adapter et surtout de les ajuster pour éviter qu’ils tombent …
Voici quelque pots tout frais sortis du tour. Le couvercle va venir chapeauter le col. On voit sous les pots des assiettes plates tournées à l’envers, ce sont les couvercles.
Les pots et les couvercles sont tournassés soigneusement et ajustés. C’est un moment délicat, il faut avoir de la patience et de la délicatesse. Le couvercle doit être bien ajusté pour ne pas risquer de tomber lorsque l’on va utiliser le pot.
Il est plus facile de tourner le pot en même temps que son couvercle pour avoir la même consistance d’argile, donc le même retrait au tournassage. Cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas tourner un couvercle après mais le retrait d’une terre n’est pas facile à calculer
On peut voir différentes hauteurs de couvercles, c’est un choix esthétique,
le principe d’ajustement est ici le même
Juste pour le régal des yeux après le passage de la terre sigillée avant enfournement..
Système classique de couvercle qui entre dans le pot et se pose sur le bord. Petit conseil,
attention de ne pas faire la partie qui entre dans le pot trop petite pour ne pas que le couvercle bouge.
Il doit s’ajuster à l’intérieur du pot. Encore une fois, l’ajustage se fait lors du tournassage
Le couvercle entre cette fois dans le pot et se pose sur le col qui est plus bas que le bord du pot
Les couvercles sont classiquement posés sur le col; On voit bien sur l’image de droite que le diamètre intérieur de la théière correspond bien à la partie qui rentre dans le col
Théière modelée. Le couvercle ne s’ajuste pas très bien, on voit que le colombin est trop petit par rapport au diamètre de l’ouverture du col et de fait, le couvercle bouge.
Autre théière modelée, cette fois le couvercle rentre bien et ne bouge pas
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0685230152. Laissez moi vos coordonnées, je peux vous rappeler
Déroulement de la fabrication d’une pièce tournée
Les différentes étapes de fabrication de vases à couvercles
C’est intéressant de suivre une logique dans les différentes étapes de la fabrication et de ne pas commencer trop de pièces à la fois quand on est débutant. Peser les boules permet de s’exercer au geste et de voir rapidement ses progrès. Si on fait des poids différents, des formes différentes sans avoir stabilisé les premiers gestes du bol ou du cylindre on va avoir plein de difficultés partout, on ne sera pas satisfait du résultat. Si on prévoit de faire une forme et on la fait régulièrement toujours avec le même poids de terre, par exemple 450 gr pour un bol, on va s’habituer aux gestes successifs. Après, on peut varier les poids avec la même forme. C’est bon de faire des exercices si on veut faire des progrès.
D’abord, le battage de la terre, la pesée des boules
Le tournage sur rondeaux de plâtre
C’est un exemple de couvercle qui rentre à l’intérieur du vase. Il faut donc prendre le diamètre extérieur du vase et évaluer l’épaisseur de la paroi pour faire la partie qui rentre dans le col. Bien sûr; l’ajustage se fait lors du tournassage
Etape suivante, on décolle les vases des rondeaux lorsqu’ils ont raffermi
Les vases sont retournés pour que le fond sèche et pas le col qui doit rester à la même consistance que le couvercle pour que l’un ne diminue pas de volume avant l’autre. C’est un des points très importants de 'l’ajustage, toujours faire attention au degré de séchage des deux parties
Quand on tournasse le couvercle, on fait attention que la partie plate qui repose sur le haut du col soit bien plate et forme un angle droit avec la partie qui rentre pour un ajustement impeccable
Tournassage des vases, avant, après…
Les vases sont en train de sécher, après demain ils recevront les engobes et cuiront en début de semaine prochaine pour le biscuit. Ils recevront une couverte transparente et cuiront une deuxième fois pour la glaçure
Les 30 et 31 mai,
journées portes ouvertes dans le cadre de Ballade en Terre d’Artiste
Cuisson au bois, ateliers gratuit modelage, travail en commun sur une fresque, tournage, démonstration tournage, films de Daniel de Montmollin sur l’animation terre et cuissons artisanales en animation, cuisson d’enfumage
Pour voir le programme complet http://laterreenfeu.fr/ballade-en-terres-dartiste/
Tournassage de la théière
Pour visiter le site de l'atelier avec programmes des stages et formations
Cette fiche est la suite de la dernière qui concernait le tournage de la théière, du couvercle et du bec verseur.
Après raffermissement, les objets sont décollés du rondeau de plâtre. Cela se fait très facilement car le plâtre absorbe l'humidité de la terre qui prend son retrait et se décolle toute seule.
Il faut faire très attention en utilisant le plâtre car les grains de chaux, s'ils sont mélangés à la terre et cuisent, reprennent 8 à 12 fois leur volume initial. Cela peut casser ou fendre des pièces, faire sauter l'émail... Donc, n'utilisez pas d'outils en métal sur le plâtre et ne recyclez pas la terre du rondeau pour façonner des poteries.
Vous trouverez beaucoup de photos de la dernière formation de tournage sur le site.
Vous pouvez également visiter le site de l' atelier
Prise du diamètre du couvercle posé à l'envers sur un mandrin avec le compas
Ajustement du bord du couvercle à l'aide d'un ébauchoir
Tournassage du bord du couvercle Lissage à la cuillère
Finition du bord au doigt pour enlever les arêtes et décor
à la pointe sur le haut de la théière
Lissage de la gravure et du support du couvercle posé à l'intérieur du col
Est ce que tout va bien? La théière après la pose des anneaux
Ces anneaux accueilleront après cuisson une anse en bambou.
Au cours du séchage, cette théière sera soigneusement polie avec des pierres semi précieuses puis recouverte après séchage d'une terre sigillée. Elle sera cuite au feu de bois.
Détail du tournassage d'un couvercle
Bien faire plat l'endroit où pose le Tournassage de l'intérieur
couvercle sur le col de la théière
Bien regarder la position des mains, elles indiquent comment tenir
la pièce à tournasser. La force verticale doit être égale à la force latérale
pour éviter le décentrage. Le couvercle est posé ensuite sur la girelle
pour le tournassage du dessus
Les copeaux montrent que l'outil est tenu fermement et attaque bien la
paroi. Le majeur tient le couvercle par le haut en appuyant .
Le couvercle est posé sur la théière pour un ajustement impeccable.
Après le tournassage, la pièce sera mise sous plastique pour éviter le séchage pendant le tirage de l'anse. Tout doit rester à la consistance du cuir pour un bon collage du bec et de l'anse.
La prochaine fiche montrera le garnissage de la théière, c'est à dire la pose du bec et de l'anse.
Si vous souhaitez voir se créer une fiche sur une technique particulière, si j'ai de quoi l'illustrer, je la créerai avec plaisir.
Si vous rencontrez une difficulté, n'hésitez pas à me questionner.
Si vous souhaitez laisser un commentaire, je le lirai avec plaisir